Organisations

Les deux guildes d'assassins :

Dans la société Luitiènne il existe deux grandes guildes d'assassins, qui se vouent une haine féroce. La réputation des ses deux organisation elle telle, qu’elles sont toute deux redoutées dans l'ensemble des terres connues. L'une est la Guilde des Vorjaks et l'autre est l'Organisation Menzaï.



La guilde des Vorjaks est une organisation d’assassins fondée en 82, à la mort du Gouverneur-Général Gerfaut, toutefois son histoire commença officieusement une dizaine d’années avant que le Comte de Raak n'accède au titre suprême.

A l’époque l’assassinat n’était pas encore une pratique très développées dans la vie politique Luitienne et les tentatives se soldaient plus souvent par la mort de l'assassin avant que celui-ci n’ai pu atteindre sa cible. La tradition voulait que, pour gouverner la Fédération, le Noble qui voulait accéder au titre devait se battre avec le Gouverneur-Général en place (ou un autre prétendent) au cour d’un duel à mort. Seulement le Comte Gerfaut était loin d’être guerrier, il décida donc de former ses meilleurs soldats aux techniques d’assassinats Menzaï (peuple vivant sur une petite île située au sud de l’Empire Agash). L’année suivante son objectif fut partiellement atteint, en effet le Gouverneur-Général fut assassiné. Seulement, le Conseil jugea cet acte si lâche qu’il ordonna la décapitation du fautif quand celui-ci aurait été démasqué. Le Comte décida donc de faire profil bas et ne pas réclama le titre. Le Conseil jugea préférable d'élire le nouveau Gouverneur-Général plutôt que d'organiser un "Grand combat" à mort opposant tous les Comtes et Barons de la Fédération.

N’ayant pas obtenu ce titre, le Comte de Raak décider d’éliminer tout les Gouverneurs jusqu’à ce qu’il puisse accéder au pouvoir (il était un peu dénué d’imagination, certes, mais il faut reconnaître qu’il était persévérant). Finalement après 10années d’attentes et 22 morts violentes, le Comte finit pas obtenir le titre tant convoité car nul autre Comte ne voulait diriger la Fédération, ce poste étant réputé maudit. A cette époque une grave crise économique eut lieu : graveurs de pièces firent même grève scandalisé par la fragilité du gouvernement (c’est surtout qu’ils commençaient à en avoir marre de devoir graver de nouveaux visages sur les pièces tout les 6 mois).

A peine arrivé au pouvoir, Gerfaut envoya la flotte de la Fédération massacrer le peuple Menzaï pour s’assurer que ceux-ci ne soient pas engagés pour l’assassiner.

En l’année 81 du calendrier Fédérale la crise économique frappant la Fédération atteignit des sommets, et, pour y remédier le Gouverneur-Général Gerfaut fonda la Guilde des Vorjaks, afin de vendre leurs services aux étrangers. Ironie du sort en l’an 82 le Baron De Flamnoir engagea cette organisation afin qu’elle assassine le Gouverneur ce qu’elle fit avec succès.

Depuis cette année la Guilde devint une organisation plus ou moins illégale travaillant pour le plus offrant.

Un dernier détail est à ajouter, en l’an 94 le Gouverneur De Flamnoir porta secours aux rares survivant Menzaïs ayant survécuent à l’attaque de leur île, ce qui lui permit d’acquérir leur allégeance, si bien que 3 année plus tard fut créée l’Organisation Menzaï, exécutant uniquement les ordres du Gouverneur-Général. Les principales missions de l'organisation sont l’élimination de Comtes trop ambitieux ou encore de Rois ou Empereurs voisins et font office de service d’espionnage.

La Confrérie d'Asgarion :

La Confrérie d'Asgarion fut fondée en 43 av. FFL, juste à la fin de la Guerre Sombre, après la défaite du démoniaque Mage Noir à la bataille d’Arak. La Confrérie d’Asgarion contrairement au deux guildes d’assassins ne servent ni l’Etat, ni les plus offrant, en effet ses adeptes sont persuadés de servir le bien de l’humanité en traquant toute les créatures pouvant utiliser la magie, au sein du Royaume Vandaréen principalement, mais officient aussi dans d’autres pays notamment dans le Saint Empire Divin, malgré le danger..

La confrérie se montra au grand jour en l’an 15, lors que plusieurs centaines de ses membre se lança à l’assaut de la Tour d’Erkass, située dans les Protectorats. Hélas pour eux, les magiciens qui y siège comptent parmis eux les meilleurs au mondes. Les Frères d’Asgarion furent aisément massacré, mais parvinrent tout de même à tuer quelques membre du Haut-Conseil grâce à l’effet de surprise.

Bien que la peur des magiciens soit bien moins forte que durant les années de chaos qui suivirent la fin de la Guerre Sombre, beaucoup de personnes (surtout celle vivant à l’intérieur des terres) craignent toutes créatures disposant de pouvoirs surnaturels (notez d’ailleurs que les ambassadeurs détachés auprès du St Empereur Divins sont originaires des régions côtières). Dans ces régions du nord du Royaume, la Confrérie Asgarion est ouvertement soutenue, à Bast par exemple, on ne compte plus les bûchés dressé (ce qui est stupide car les vrai mages peuvent éteindre le feu facilement).

Bien qu’ils soient considérés comme étant à peine plus intelligent que des Zargondes par la majeurs partie des habitants du monde connu, les hauts-dirigeants de la confrérie font partis de ces gens ayant une redoutable intelligence. Un rapport des services secrets Menzaï prouvent que la confrérie à des moyens de pression sur environ un tiers des comte, ducs et barons du royaume, c’est pour cette raison que l’une des principale tâche de l’organisation Menzaï est d’éliminer les membres de cette confrérie, toutefois après 15 tentative d’assassinats, la Baron de Bast que l’on soupçonne d’être à la tâte de l’organisation est toujours en excellent santé, à croire qu’il est protégé des Dieux…

Les Chevaliers du Noscrum Part 1:

Voici l'ordre militaire le plus ancien du Royaume Vandaréen. En réalité, il fut même créé avant la Fédération Luitienne, puisqu'il existe depuis l'an - 52. A l'origine se glorieux ordre fut créé pour protéger les habitants du sud de la montée en puissant de l'Empire d'Arak dirigé d'un poing de fer par le redoutable Mage Noire.

D'ailleurs les début de se glorieux ordre est des plus ridicules. A l'époque, les habitants de se qui serait plus tard le Royaume Vandaréen n'était qu'une bande de barbares arriérés qui avaient été très impressionnée par la cavalerie d'Arak lors d'une bataille, aussi décidèrent-ils de se doter de leur propre cavalerie.

Hélas, la région était à l'époque très pauvre, et les Chevaliers du Noscrum ne purent se procurer de chevaux, ce qui est légèrement ennuyeux pour un chevalier. Aussi durent-ils se tourner vers un produit de "substitution". Cinq ans après ils trouvèrent enfin un animal très semblable au cheval : l'âne (il faut vous rappeler qu'ils n'en avaient vu qu'une seule fois au cour d'une bataille donc leurs souvenirs n'était pas forcement très net).

Deux mois après, les ridicules Chevaliers du Noscrum rencontrèrent une armée d'Arak. L'ordre revendiquent une victoire spectaculaire.

"En nous voyant le cœur de nos ennemis fut saisit d'effroi et la horde Agash détalla si vite que l'on ne peut les rattraper"

Le point de vu des soldats d'Arak est quant à lui très différent.

"Tiens, moi aussi j'ai une bonne blague à te raconter, hier alors qu'on faisait une patrouille, on est tombé sur une bande de paysans, ils étaient montés sur des ânes, on a pas compris toute suite mais c'était des soldats, si si je t'assure, ils avait des lances des boucliers en bois et des truc qui devaient être des armures.
Le chef à alors prit la parole, il a dit un truc du genre : "chiens d'Agashie, oui il savait même de quel pays on venait, vous ne passerez pas ! Nous vous empêcherons de piller nos terres !"
On a bien essayé de lui expliquer qu'on était pas des Agashs et qu'on était une patrouille frontalière et que donc on avait aucunes intentions de l'envahir, en plus pour ce qu'il y a à piller dans ce trou à rats !
Mais le type veut rien entendre, il se redresse, brandit sont sabre et crit : "CHANTEEEEZ !!!!"
On étaient mort de rire, chantez au lieu de chargez, vraiment n'importe quoi, mais c'est pas la meilleur, car y a pas un âne qui a bougé, enfin si quelques uns, mais pas dans le bon sens. Finalement on est repartit au trot au bout d'une demi-heure et on entendait dans notre dos le type qui criait "Victoire on a mis l'Agash en déroute ! Poursuivons-les !" Mais leurs ânes refusaient toujours de bouger. Ha ! Comme coin on sa marre vraiment bien dans l'armée."