Transition

Il existe à plusieurs milliers de lieux à l’ouest, par de là le Grand Océan, les montagnes sacrées des Irisiens et un deux deuxième océan au moins aussi grand que le premier, un continent méconnu qui, pendant des millénaires à complètement ignorée des rumeurs parlant de Saint Empire et de Royaume Vandanaréen et de son coté le peuple vivant sur notre continent n’a que rarement entendu parler de ces terres, toutefois il y a toujours eut des fous ou des aventuriers pour tenter de grandes aventures et si il n’était ni fous ni aventuriers, ils étaient peu être comme moi : fuyant un pays tombant en ruine , ou je sais ce n’ai pas patriotique, mais je tiens plus à ma vie qu’a mon pays. C’est donc pour cette raison que je parle de ses terres inconnues. Cela fait maintenant plusieurs mois peu être même un an que je suis parti de la vieille cité de Vandanar, lors de mon départ les troupes ennemis venaient de débuter le siège de notre glorieuse capitale. C’est donc par respect pour notre histoire que j’avais demander à notre bon Roi Faeroe II de demander les archives afin de préserver notre Histoire.

La journée d’après deux vieilles trirèmes furent chargées de ces précieux livres avec pour destination l’île des Menzaïs. Quand j’y repense cette journée à due être bien mauvaise pour notre cher Roi car peu de temps avant le départ des deux navires l’ennemis réussit à faire une percée dans le premier mur d’enceinte et juste après il eu la surprise de me voir partir avec les navire alors qu’il m’avait demandé de rester avec lui pour… Que m’a-t-il dis déjà…Graver dans l’Histoire la courageuse résistance des armées du bien face aux hordes apocalyptiques ! Quoi ? Je ne suis pas le seul a savoir écrire ! Il a qu’a le faire tout seul, en tout cas s’était pas prévit dans mon contrat donc j’ai préférer réaliser « un mouvement de recul afin d’anticiper l’action entreprise par l’ennemi » bref, une jolie façon de dire que l’on s’est barré pour éviter de se faire botter l’arrière train. L’autre mauvaise nouvelle pour notre naïf Roi est que le coffre royal avait été mystérieusement alléger par le personnel qui chargeait le livres… Une bien triste histoire quoi. Profiter du malheur des autres pour s’enrichir c’est vraiment une attitude déplorable.

Trois jours plus tard les deux navires parvinrent enfin à l’île des Menzaï. Après avoir déchargé les fameux livres et pour ainsi dire accomplit ma mission, je pris la décision de mettre encore un de distance entre moi et les troupes de Bast, après une longue discussion avec l’officier qui commandait les deux trirèmes, le capitaine Zam je parvint à le convaincre de me suivre vers une terre inconnue, ce fameux continent dont j’avais plusieurs fois entendu parler dans les montagnes de livres que j’avais épluché.

Chercher un nouveau continent n’est pas une chose facile, même quand l’on sait a peu près ou il se trouve, trouver des volontaires est une choses encore plus difficile. Peu de personnes sensées seraient prêtent a tout abandonner pour un futur incertain. Enfin tout est relatif. Avec une hordes d’ennemis ravageant tout le Royaume sans rencontrer de résistance je n’eus pas trop de problème pour trouver des volontaires et je doit avouer que je fus surpris de retrouver un espion du nom de Mettel. Personnellement j’ai toujours apprécié cette personne, je dirais que c’est la personne le plus sensée du monde… Après mon bien entendu. Bref après avoir embarqué les vivres nécessaires pour notre traversée et affrété un troisième navire nous primes à nouveau la mer mais cette fois en direction de l’inconnu. Cette traversée fut pour moi relativement enrichissante, la chose le plus importante que j’ai appris est j’ai le mal de mer, la deuxième est qu’il vaut mieux éviter de vomir lorsqu’on ai face au vent car sinon… Bref c’est assez désagréable. Après une semaine d’expériences de se genre, je décida que j’avais assez appris et je resta cloîtré dans ma cabine et partagea mon temps entre enseigner à Luyas (le page que le Roi m’avait confier) le magie des runes et à joueur avec mes pièces d’or. A quoi peu bien servir cette monnaie puisqu’elle n’aura pas cour dans le continent vers le quel je me rends me direz vous ? A rien mais le truc c’est que les marins que je paye eux ne le savent pas. Et puis si on réfléchit bien l’Or aura toujours une certaine valeur du fait de sa rareté. J’occupas donc ainsi les deux mois que durèrent la traversée jusqu'à ce qu’un beau matin (on en y repensant il pleuvait) les navires arrivèrent enfin en vue de la terre. Après avoir débarqué grâce à une chaloupe j’envoya quelques éclaireurs dans le régions avec pour ordre de me prévenir si il découvraient un quelconque signe de civilisation. Ce fut pour moi une grande déception. Ils avaient bel et bien trouvés ces signes mais nous arrivions un bonne centaines d’années trop tard. Tout les villages étaient abandonnés, les routes recouvertes d’herbes et les rares forts n’étaient plus que des ruines.

Je pense que c’est à ce moment la que le moral baissa, et il baissa encore un peu lorsque nous nous rendirent compte que nous étions bien plus au Nord que prévu. Le Nord… Des ruines anciennes… De l’autre coté du Grand Océan… Des montagnes à perte de vue… Evidemment comment avais-je pus être aussi stupide ! Nouveau continent tu parles ! Je venait de tomber en plein sur les territoires Irisiens et visiblement ceux-ci s’étaient mal remis de la campagne des Empires Centraux.

Pour être une mauvaise nouvelle, c’était une mauvaise nouvelle. Le pire était que lorsque j’avais été à l’université d’Arthénor, dans le Saint Empire, j’avais eu l’occasion de discuter de ces terres avec un des Archivistes qui m’avait appris l’existence de survivants Irisiens très hostiles aux étrangers (on les comprend leur peuple à été massacré) si bien que je me retrouvais avec un gros problème sur les bras. Pour accéder à ce continent inconnu, je le savais il fallait franchir ces gigantesques montagnes enneigées qui étaient réputées pour être les plus dangereuses du mondes et les plus hautes aussi, en plus l’Hivers s’approchait la sale affaire quoi. Montagnes dangereuses, autochtones hostiles, températures glaciale… Autant dire que notre petite fuite était compromise.

Les membres de l’expédition se rendirent rapidement compte de la situation si bien qu’environ une semaine après notre arrivée je du m’adresser à eux pour leur dire que l’on allait rembarquer pour contourner le continent des Irisiens, mais cette solution de secours fut immédiatement refuser par le capitaine Zam, qui m’informa que tenter de prendre la mer en plein hiver était aussi risqué que de tenter de traverser les montagnes, surtout si il fallait naviguer sur des eaux inconnues, car on ne savait rien des hauts-fonds ni des animaux qui vivent dans ces régions, selon lui les histoires de monstre marins qui broyait les navires étaient réelles, de plus nos navires étaient en trop mauvais état pour repartir.

C’est pour cela que nous nous furent contraint d’établir un campement dans les ruines d’une vieille forteresse sûrement bâtie par des soldats du Saint Empire lors de la campagne militaires d’après les nombreuses armes que l’on y trouva certain prennent cela pour un signe du destin se convertirent au culte de l’Empereur-Dieu. Les imbéciles, comme si sa pouvait nous aider, et comble de mal chance un de ses prêtres se trouvait dans notre équipage. Celui-ci s’est rendu dans la petite chapelle du fort et a proclamer à tous ces fidèles qu’ils étaient en mission, et que cette mission était la conversion des habitants du continent inconnu au culte de Salandar.
Heureusement cette bande de fanatiques est minoritaire, mais cela ne les a pas empêcher de créer des problèmes car deux jours après nous être établis dans la forteresse on retrouvaient deux hommes qui vénéraient Daschgargok le dieu de la dévatation pendus à un arbre. Autant dire que l’unité du groupe en a pris un coup… D’accord tout le monde les détestaient, mais il auraient pus au moins nous prévenir pour qu’on puissent profiter nous aussi….C’est le problème avec ses gens la, ce ne sont que des égoïstes.

Finalement ce problème de religion se calma un peu le prêtre un certain Scélérat (si je vous assure c’est bien son nom) s’autoproclama grand prophète et nomma trois membres d’équipage originaires du Saint Empire comme membres du Deus Irae ! Bref il est en pleine crise de démence depuis ce jour la et son membre de fidèles a peu à peu baisser depuis.

Bref, après toutes ces petites péripéties ont a enfin eut notre premier contact avec les Irisiens : quatre morts chez nous et aucuns chez eux…C’est à ce moment ou Zam et moi avons décidez qu’il fallait mieux ne pas s’éterniser ici et se lancer dans la traversée des montagnes. Car les Irisiens ne s’attendront sûrement pas à ce que un groupe d’explorateurs venus du sud se lancent dans leurs montagnes en plein hiver, sa serait de la folie pure et simple !
Non, non je vous vois venir. Je ne suis pas fou, le truc c’est que j’avais pensé à embarquer une rune bien pratique qui avait pour particularité de dégager de la chaleur une fois activée sur une surface assez étendue et pendant environ une heure. Bref, le truc bien pratique lorsqu’on traverse les montagnes en plein hiver. Et oui que voulez-vous sa sert finalement d’être Gardien du Savoir !

Il nous fallut encore deux jours pour finir de nous préparer : chasser des animaux à fourrure, refaire le plein de vivres, jeter quelques bouquins inutiles, et charger notre important stock d’Or. Malheureusement la région est assez dévastée et il nous a été impossible de trouver des animaux capable de transporter notre chargement, nous dûment donc créer des sortes de traîneaux avec les quelques arbres qui tenaient encore debout. Et finalement après ces deux jours de préparation on entama l’ascension de cette chaîne de montagne…

III.Randonnées pédestres et escarmouches...

Finalement quand on y réfléchit bien la montagne c’est pas mieux que la mer. D’accord il y a un joli paysage mais bon, il y a le froid, le dénivelé, et les indigènes agressifs ! Non tout bien réfléchit je préfère la mer, car la au moins en tant que bon Vandaréens nous sont imbattable. Mais bon puisqu’il fallait passer par là on est passés par là. Les premiers jours furent assez tranquilles, car ils n’y avait pas beaucoup d’altitude et donc moins de neige, les ennuis on commencés après, juste après avoir traversé les ruines d’une ancienne ville Irisienne une trentaine de montagnards nous on attaqués. Mais alors là ! Autant en embuscade ils sont forts, autant en bataille rangée ils sont ridicules. Il faut dire qu’après la première volée de flèche il ne restait plus grand chose de leur troupe, bref ils furent tous massacrés, moi qui voulais discuter avec l’un d’eux pour négocier traversée de leurs terres s’était bien ma vaine. Des troupes qui font de l’excès de zèle…

Après cet événement le voyage se compliqua car périodique l’ennemi nous envoyait 5 ou 6 soldats pour tendre des embuscades, finalement le Capitaine Zam se rendit compte que les embuscades étaient tendues tout les 5 lacets et ils nous fut assez facile d’éviter ces pièges ou lorsque l’on ne pouvait pas les éviter, envoyer une volée de flèches dans la zone ou était sensée se trouver les Irisiens. Finalement après avoir jouer à ce petit jeu près de dix jours les Irisiens abandonnèrent la partie, et nous de notre coté on prenait soin d’éviter leurs anciennes villes, c’était peu être pour cela d’ailleurs qu’il cessèrent de nous attaquer toutefois pour leur montrer que nous ne voulions pas les attaquer je laissa trois livres d’histoires pour enfants au centre d’un ancien pont (bon d’accord ces livres n’avaient aucuns intérêts, mais si les Irisiens étaient à moitié aussi passionnés par les livres que leurs confèrent Archivistes j’était sur d’être tranquille pendant un bon moment, jusqu'à ce qu’ils aient lus la dernière page en fait, car ce que j’y avais écris risquait de ne pas leur plaire…

En fin de compte la traversée fut moins dure que prévue, surtout après avoir passé les Irisiens, pour ce qui est du froid la rune fut très utile et à ma grande satisfaction j’ai réussis à apprendre à Luyas comment l’utiliser, comme cela j’ai put dormir pendant qu’il s’en servait.

Après trois semaines de randonnée nous arrivâmes enfin à la cote ouest d’Irisia (jolie nom hein ? Sa m’ai venu comme ça d’un coup), les travaux débutèrent le soir même de notre arrivée sur la plage, les deux ingénieurs en construction navales suivirent à la lettre les plans que j’avais emmener, trois mois après on se retrouva avec trois trirèmes flambant neuf prêtes à traverser l’océan qui nous séparait de notre objectif.

En fait quand j’y réfléchit bien, l’avantage de la montagne c’est que l’on n’a pas la mal de mer, le vertige peu être mais pas le mal de mer… Je crois que je déteste autant la mer que la montagne en fait ! C’est vrai on à soit une étendue blanche soit une étendue bleu, niveau panorama c’est pas super… Mais bon au moins il n’y pas eut de tempêtes ni de monstres marins c’est toujours sa.

La traversée en elle même dura deux mois et ce fut avec joie que l’on vit au cour d’un après midi pluvieux la cote ce dessiner sur la ligne d’horizon, et l’on fut vraiment ravit de voir un petit village sur cette cote, finalement nous allions rencontrer les habitants du coin plus vite que prévu. Nous débarqua la nuit au nord du village après avoir pris soin de ne pas nous faire repérer, les navires furent ancrés dans une petite crique bien çà l’abris des regards et nous installâmes un campement fortifier ou sommet de la falaise qui la surplombait. Après avoir établit des tours de gardes et avoir vérifier qu’aucunes routes ou sentiers ne passait par le plateau ou nous étions installés nous allâmes dormir. La prochaine journée allait être chargée, on allait devoir prendre le maximum de renseignements possibles sur la régions et sur ces habitants, puis voir si devrait se montrer à eux, s’installer dans le village, ou a l’écart, le piller ou encore fuir pour s’installer plus loin, bref l’organisation Menzaï allait reprendre du service, c’est Mettel qui allait être ravit…

IV. La taverne.

Finalement l’excursion dans le village situé en contrebas de notre campement fut repoussée de deux jours, le temps de monter quelques palissades et d’aiguiser nos armes si les choses tourneraient mal.

Après cette préparation j’alla trouver Mettel et Zam pour les informer que nous n’y que tout les trois dans le village.
_ Et pourquoi seulement trois ? me demanda le Capitaine, nous aurions put y aller avec deux ou trois soldats professionnels…
_ Impossible, dites-vous bien que l’on va dans un petit village, je ne sais pas si vous avez fait attention mais il y a aucunes routes dans la région, donc cela veut dire qu’ils sont isolés et donc n’ont pas l’habitude de voir des étrangers, alors pas la peine d’attirer l’attention avec deux soldats étrangers dans un village de pécheurs, déjà si vous voulez mon avis y aller à trois c’est déjà beaucoup trop, le mieux aurait été que j’y aille seul.
_ Non Mettel réfléchit : nous avons besoin d’informations sur leurs capacités militaires donc la présence du Capitaine est indispensable, et puis les habitants du coin risquent de ne pas parler notre langue donc encore une fois la présence de Zam est indispensable car comme tout bon officier de la flotte il fait de nombreux voyages.
_ Enfin, affirma Zam et je présume que votre présence vient du fait que étant Gardien du Savoir vous avez dut apprendre de nombreuses langues oubliées ?
_ Oui, de plus je suis le seul à avoir une maîtrise rudimentaire de la magie, donc je pense pouvoir repérer les mages vivant dans cette citée, et puis surtout c’est moi le chef ici !
_ OK, Ok, j’ai rien dis… Bon, on y va ?
_ Ouais !

Je me leva de mon siège et posa sur un petite table le verre d’alcool que j’étais entrain de boire, puis je leurs désigna la sortie de ma tente en leur disant :
_ Après vous.
Le campement en lui même était relativement grand, il faut dire qu’il abritait près de 800 hommes –Vous croyez qu’on peu devenir première puissance maritime avec des petits navire comme ceux du Saint Empire ?- et partout ou je posait mon regard je les voyaient s’activer à creuser des fosses, installer des pièges ou encore construire des tours de guets et des baraquement. Finalement j’avais de quoi être fière de cette petite armée, certes sur mon continent d’origine elle aurait été ridicule même pour le Duché de Rata mais ici elle paraissant bien plus important à mes yeux. Une fois sortis du campement nous nous dirigeâmes vers un petit chemin creusé à même la falaise qui était le seul moyen de quitter ou entrer dans le campement. La descente fut longue et difficile, elle dura environ une heure, une fois arrivés à sur la plage nous croisâmes encore une vingtaines d’hommes occupez à construire des pontons pour nous navires et amener ce qui devrait devenir un port.

Nous longeâmes la cote jusqu'à notre arrivée au village. C’était la première fois que je voyait se genre de bâtiments, le maisons avaient été bâties sur pilotis de manière à rester au bord de la mer que celle-ci soit à marée haute ou basse, les bâtiments eux-mêmes étaient en bois et à ma grande surprise n’avaient pas de toits. Après avoir accédés au village grâce à une passerelle en bois nous partîmes à la recherche d’un bâtiment spécial, un endroit présent dans toutes les villes et villages de la planètes, et ou l’on pouvait y obtenir toutes les informations que l’on voulais : la taverne !
La trouvée ne fut pas très difficile, ils nous suffit de suivre quelques marins pour parvenir devant un vieux bâtiment à moitié rongé par les termites, étrangement l’intérieur était en meilleur état que l’extérieur, pièce aérée, éclairée et surtout bien chauffée, car malgré la fin de l’hiver le froid était encore bien présent dans cette région du monde. Regardant autour de moi je vis que tous les clients s’étaient retournés à notre entrée, visiblement ils n’avaient l’habitude de voir de étrangers. Alors que j’allais me diriger vers le comptoir pour passer une commande Mettel m’attrapa le coude et me fit signe de me diriger vers une table libre.

_ Vous comptiez la passer dans quelle langue votre commande hein ? Et puis vous ne savez même pas se qui se vend par ici, laissez moi faire les gars sa c’est mon domaine.

Le Menzaï se leva quitta la table et se dirigea vers un groupe de personnes entrain de discuter, profitant du vacarme qui emplissait la taverne j’engagea la conversation avec le Capitaine :

_ Alors, vous avez remarquez des trucs intéressant ?
_ Bof j’ai vu leurs navires et je peux vous dire que c’est loin d’être une menace pour nous. Sinon je n’ai pas remarqué de militaires…
_ Moi non plus et encore moins de mages, je crois que l’on vient de tomber dans un trou perdu…
_ Tout à fait d’accord, en plus ils n’ont pas l’air d’être riche.
_ Evidement, sa je le savait depuis longtemps, il n’y aucunes routes, pas même un sentier autour du village, ni aucuns navires de commerces…9 fois sur 10 les villages qui ne commercent pas sont pauvres.
_ Bah vous savez moi et les probabilités…

Soudain Zam s’arrêta de parler fixa un vieillard qui se dirigeait vers nous. Contrairement aux autres habitants présents dans la taverne celui-ci semblait ne pas être intimidé par les étrangers que nous étions, il s’installa à notre table et poussa un grognement :

_ Tiens, tiens, tiens qu’avons nous la on dirait bien des petits Lituaniens dites donc les gars vous vous êtes perdus ou quoi ? Car jusqu'aux dernière nouvelle votre trou à rats qui vous sert de pays n’est pas ici.

Interloqué je dévisagea le vieillard, en faisant bien attention je me rendit compte qu’il n’était pas de la région mais plutôt du nord peut être le Saint Empire…

_ Dit papy faudrait revoir tes infos car la Fédération Luitiènne n’existe plus depuis un bail maintenant !
_ Se pourrait-il que le Divin Empereur ai décider d’exterminer toute la vermine du continent ?
_ Continu comme ça et c’est moi qui vais t’exterminer vermine d’incontinent souffla Zam entre ces dents tout en lui montrant une dague.
_ Ho du calme les amis ! Je ne sert plus le Saint Empereur depuis près de 40 ans, je ne suis pas votre ennemis.
_ Le Saint Empereur n’est pas notre ennemi vieillard puisqu’il est mort…

L’homme resta à nous regarder bouche bée pendant près d’une minute :

_ C’est… Impossible… L’Empereur est immortel…
_ Ouais je l’ai déjà entendu ce refrain là, il paraît que pour calmer les adeptes les autorités ont déclarée qu’il était « monté au ciel » ça veut dire ce que sa veut dire hein ?
_ Voilà une bien triste nouvelle soupira l’Impérial, mais comme je vous le disait je ne sers plus le Saint Empereur depuis longtemps maintenant je l’Harmonie.
_ Hein c’est quoi ce truc ? s’exclama Zam.
_ C’est une… croyance locale, nous prêchons la paix et la bonne entente autour de nous… Voulez-vous servir à votre tour l’Harmonie ?
_ Heu non pas vraiment…Nous sa serai plutôt l’inverse tu vois…
Le vieillard écarquilla les yeux et tomba à genoux.
_ C’est vrai ? Pitié laissez moi venir avec vous ! J’en peux plus de leurs chants religieux et de leur « bienvenu frère » s’il vous plaît je veux vous accompagner donnez moi une arme et je vous prouverais que je vaux encore quelque chose.
_ Holà on se calme si vous nous racontiez votre histoire déjà.
_ Jadis j’était l’un des plus grand guerriers de l’Empire mais j’ai été obligé de fuir le continent lorsque j’ai volé de saintes reliques de Salandar et tué cinq de ces prêtes et un dizaine de membres de la Deus Irae…
_ Vache ! T’es engagé ! Zam va chercher Mettel et dit lui qu’on repart au campement.