De retour au chateau, Sirius se dirigea à l'armurerie. Il avait laissé deux hommes pour garder l'entrée et ils étaient repartis au chateau pour s'équiper de torches et prendre une carte des mines. Mais sirius avait un mauvais pressentiment... Pourquoi ces villageois se seraient-t-ils enfuis dans des mines ? pourquoi se serai-t-il enfui même ? la loi punissait très sévèrement les fuites des serfs. De plus, son père le comte de Terdure n'était en rien tyranique. Les impôts étaient certes lourds mais la récolte avait été bonne cette année. D'un point de vu général ces serfs n'étaient trop à pleindre...
Une fois à l'armurerie, sirius verrouilla la porte derrière lui. Puis il ouvrit un coffre richement decorré. A l'interrieur se trouvait un pistolet. Un des derniers modèles... Ces armes étaient encore peu fiable, peu précise certes mais terriblement puissante à faible distance. Néanmoins ce que Sirius recherchait était la terreur que provoquait la détonation de cet arme peu connu dans le Royaume de Narcef. Les armes à feu y sont en effet considéré comme "déloyale", et celui qui ose tué un noble avec un telle arme est alors traité comme un pleutre... Et les couards vivent à leur grand malheur trop longtemps avant de mourrir dans le Royaume... Mais rien n'empêche d'abbatre des gueux avec des armes à poudre... Néanmoins Sirius dissimula le pistolet ainsi que deux longues dagues dans sa veste et dans sa botte, puis il fixa le fourreau de son glaive à sa ceinture avant de rejoindre les gardes qui brandissaient les torches à l'entrée du Fort.
Une fois dans la fôret, Sirius décida de poster deux gardes à l'entrée du tunnel et il s'enfonça dans les mines avec les dix-huit autres...